Tu te souviens peut-être, lecteur, que lorsque j'ai appris que nous allions habiter à Nickelcity, j'avais projeté d'en profiter pour apprendre un technique locale: la dentelle.
Ce n'était pas ma priorité.
De plus il me fallait acheter, ou fabriquer, un carreau de dentellière, des fuseaux en quantité suffisante et les épingles qui vont bien.
Comme j'avais plein d'autres choses à faire, je ne me suis pas précipitée.
A cela s'ajoute que le prix du matériel n'est pas anodin....
Et voila que ces jours-ci, en me rendant dans une boutique spécialisée dans l'occasion, j'ai trouvé, sans le chercher, exactement ce que je désirais: un carreau complet avec soixante fuseaux et des épingles.
Son prix était si dérisoire que le Héros, n'écoutant que sa générosité légendaire, l'a pris pour me l'offrir.
Il me faudra acheter des épingles neuves car celles piquées sur le rouleau sont très rouillées et accrochent beaucoup.
Reste l'essentiel: apprendre à manier la chose. Ou plutot LES choses.
Or, dès le début de mon séjour, en cherchant sur la toile, j'ai trouvé ce site.
(Mon carreau est l'exacte réplique de celui que tu peux voir en haut et au centre de la page d'accueil!)
Oui, un couvige virtuel.
Le couvige, ici, c'est la réunion des femmes qui font et apprennent la dentelle.
Si tu parcours les pages dont j'ai donné le lien, tu verras que ce n'est pas gagné!
J'ajoute immédiatement qu'il est inutile de passer commande!
Avant de pouvoir te montrer une seule réalisation de quelques centimètres à peine, il me faudra... Quelques heures? Plusieurs jours?.... De nombreuses semaines?....
De très longs mois!...
Mais je tâcherais de penser à faire quelques photos de temps en temps.... Histoire de te raconter aussi mes déboires, mes crises de nerfs et... mes réussites.
Je suis une grande optimiste!
dimanche 28 février 2010
samedi 27 février 2010
Folie(s) printanière(s)
Oui, je sais il est un peu tard....
C'est que j'ai parfois autre chose à faire qu'écrire un billet.
mais tu ne vas regretter d'avoir attendu, lecteur, tu vas voir!
Le printemps arrive, si, si!...
Tu sais, ce petit air de douceur qui court dans les arbres....
Un bourgeonnement qui commence à poindre au bout de chaque branche...
Ce petit air de folie qui s'empare aux oiseaux....
Dans mon jardin, le signal vient d'être donné par ce petit crocus jaune, juste au bas de l'escalier, histoire qu'on ne le loupe pas:
je dois ajouter que la folie printanière a aussi contaminée nos anciens voisins.
Ils sont venus nous rendre visite aujour'hui.
Dès leur arrivée, nous avons bien senti qu'il se tramait quelque chose.
Le grand sourire de Madame quand elle m'a tendu le petit paquet qu'elle tenait à la main, m'a fait penser que nous étions sur la pente du rire.
Et je ris beaucoup depuis que j'ai déchiré la papier d'emballage.
Voici ce que dès demain le Héros accrochera à notre portail:
Pour tous ceux qui connaissent Morice la sociopathe, avouez que c'est exactement comme ça que vous la percevez!....
Oui, lecteur, désormais nous parlerons de notre chatte-pitbull.............................
(Chut! A l'heure où j'écris, le fauve dort sous un coussin!).
vendredi 26 février 2010
" Un petit nuage rose sentant la cannelle" *
* (Extrait de L'Ecume des jours, Boris Vian)
J'ai une théorie: quand tu commences à avoir des ennuis, que ton moral baisse, tu te transformes en aimant à ennuis.
Du coup tous les mauvais coups sont pour toi.
Tu tombes alors de Charybde en Scylla, ton moral suit la pente et les ennuis s'accumulent.
A partir de là, le plus anodins des incidents, la plus innocente des attentes provoquent un cauchemar d'angoisses.
A contrario, qu'un seul point s'éclaircisse, qu'une légère amélioration voie le jour, et tu te remets à y croire. Ton moral remonte en flèche et tout te semble aller mieux.
Par un effet équivalent au précédent, tu deviens un aimant à bonnes nouvelles.
Tu trouves que ça ressemble à du vécu?
Tu n'as pas tort....
Jusqu'à hier il y avait deux gros points noirs dans ma vie.
Le premier a été levé hier.
Et je ne tiens pas à en dire plus.
Sache que ma vie en est transformée du tout au tout et que mes nuits n'en seront que plus paisibles.
Le second concerne mon boulot.
Peut-être l'info t'a-t-elle échappé, mais je ne suis ici que grâce à l'ATP.
Non, ça ne veut pas dire que je suis classée au tennis!
ATP ça veut dire Affectation à Titre Provisoire.
Ce qui signifiait que si je n'obtenais pas cette année mon affectation dans l'académie dont dépend Nickelcity, je n'avais plus qu'à faire ma valise et retourner dans le Grand Nord.
Sans le Héros....
Et voila que ce matin, dès potron minet, un coup de téléphone m'annonce que je suis affectée dans l'académie que je demande!
Deux très bonnes nouvelles en moins de 24 heures!
Tu vas devoir m'excuser, lecteur, pour la brièveté de ce billet. Mais tu comprendras aisément que là, je vais vite passer sous la douche et me rendre dans les plus brefs délais chez le détaillant le plus proche de mon domicile pour acheter un, voire plusieurs, tickets à gratter.
Après quoi je m'empresserai de remplir une grille du loto!
Il suffit d'y croire!
J'ai une théorie: quand tu commences à avoir des ennuis, que ton moral baisse, tu te transformes en aimant à ennuis.
Du coup tous les mauvais coups sont pour toi.
Tu tombes alors de Charybde en Scylla, ton moral suit la pente et les ennuis s'accumulent.
A partir de là, le plus anodins des incidents, la plus innocente des attentes provoquent un cauchemar d'angoisses.
A contrario, qu'un seul point s'éclaircisse, qu'une légère amélioration voie le jour, et tu te remets à y croire. Ton moral remonte en flèche et tout te semble aller mieux.
Par un effet équivalent au précédent, tu deviens un aimant à bonnes nouvelles.
Tu trouves que ça ressemble à du vécu?
Tu n'as pas tort....
Jusqu'à hier il y avait deux gros points noirs dans ma vie.
Le premier a été levé hier.
Et je ne tiens pas à en dire plus.
Sache que ma vie en est transformée du tout au tout et que mes nuits n'en seront que plus paisibles.
Le second concerne mon boulot.
Peut-être l'info t'a-t-elle échappé, mais je ne suis ici que grâce à l'ATP.
Non, ça ne veut pas dire que je suis classée au tennis!
ATP ça veut dire Affectation à Titre Provisoire.
Ce qui signifiait que si je n'obtenais pas cette année mon affectation dans l'académie dont dépend Nickelcity, je n'avais plus qu'à faire ma valise et retourner dans le Grand Nord.
Sans le Héros....
Et voila que ce matin, dès potron minet, un coup de téléphone m'annonce que je suis affectée dans l'académie que je demande!
Deux très bonnes nouvelles en moins de 24 heures!
Tu vas devoir m'excuser, lecteur, pour la brièveté de ce billet. Mais tu comprendras aisément que là, je vais vite passer sous la douche et me rendre dans les plus brefs délais chez le détaillant le plus proche de mon domicile pour acheter un, voire plusieurs, tickets à gratter.
Après quoi je m'empresserai de remplir une grille du loto!
Il suffit d'y croire!
jeudi 25 février 2010
Fiat lux
Février s'achève et mes vacances ne se résument plus qu'à quelques jours.
Pourtant, dès le matin, un détail me fait bien plaisir!
Certes si tu es habitué(e) à te lever à 10 heures ou plus, tu te dis qu'il fait toujours clair quand tu te lèves!
Quant à moi, selon que je travaille ou pas, selon que je commence à 8 heures ou pas, mon heure de lever varie.
Pour faire simple, je t'explique comment ça se passe quand, comme en ce moment, je suis en vacances.
Le Héros travaille et se lève très tôt.
Vers 7 heures 15, il vient me réveiller afin que nous prenions notre café ensemble.
C'est tout un rituel qui va alors se dérouler dans la demie-heure qui suit.
M'asseoir. Remplir ma tasse. Me relever pour aller nourrir le poisson. Me rasseoir et boire une gorgée. Me relever et aller ouvrir les volets...
Et c'est à ce moment-là que le petit plaisir annoncé intervient.
Il y a quelques jours encore, une fois les volets ouverts, je me rasseyais. La lumière restait alors allumée jusqu'à ce que j'aille à la salle de bains. (Le Héros est alors dans son bureau. Non, je ne le laisse pas tout seul dans le noir!).
Depuis quelques jours, une fois les volets ouverts, je peux aussi éteindre la lumière!
Et ce n'est pas rien!
Outre les économies d'énergie que cela va engendrer; outre le fait que le printemps semble approcher à grands pas, c'est surtout la perspective de ne plus avoir à rouler alors qu'il fait encore nuit qui me fait plaisir!
Savoir que le mardi et le vendredi, tôt le matin et en fin de journée, mes trajets bénéficieront de la lumière diurne......
Aaaaaahhhh...............................
Finalement, dans la région de Nickelcity, il faut compter trois mois d'hiver intense.
Trois mois, ce n'est pas si long finalement!
Pour finir, juste une remarque:
les vacances s'achèvent dimanche, je viens de le dire. Avec elles, mes billets risquent fort de ne plus être journaliers, tu l'imagines bien!
Facile en ce moment de prendre le temps de taper ce à quoi j'ai pensé la veille au soir, voire pendant la nuit: j'ai du temps!
Dès lundi, les choses seront un rien plus difficiles et donc je reviendrai sans doute à mon autre rythme: un billet tous les deux jours.
Et c'est déjà pas si mal!
Pourtant, dès le matin, un détail me fait bien plaisir!
Certes si tu es habitué(e) à te lever à 10 heures ou plus, tu te dis qu'il fait toujours clair quand tu te lèves!
Quant à moi, selon que je travaille ou pas, selon que je commence à 8 heures ou pas, mon heure de lever varie.
Pour faire simple, je t'explique comment ça se passe quand, comme en ce moment, je suis en vacances.
Le Héros travaille et se lève très tôt.
Vers 7 heures 15, il vient me réveiller afin que nous prenions notre café ensemble.
C'est tout un rituel qui va alors se dérouler dans la demie-heure qui suit.
M'asseoir. Remplir ma tasse. Me relever pour aller nourrir le poisson. Me rasseoir et boire une gorgée. Me relever et aller ouvrir les volets...
Et c'est à ce moment-là que le petit plaisir annoncé intervient.
Il y a quelques jours encore, une fois les volets ouverts, je me rasseyais. La lumière restait alors allumée jusqu'à ce que j'aille à la salle de bains. (Le Héros est alors dans son bureau. Non, je ne le laisse pas tout seul dans le noir!).
Depuis quelques jours, une fois les volets ouverts, je peux aussi éteindre la lumière!
Et ce n'est pas rien!
Outre les économies d'énergie que cela va engendrer; outre le fait que le printemps semble approcher à grands pas, c'est surtout la perspective de ne plus avoir à rouler alors qu'il fait encore nuit qui me fait plaisir!
Savoir que le mardi et le vendredi, tôt le matin et en fin de journée, mes trajets bénéficieront de la lumière diurne......
Aaaaaahhhh...............................
Finalement, dans la région de Nickelcity, il faut compter trois mois d'hiver intense.
Trois mois, ce n'est pas si long finalement!
Pour finir, juste une remarque:
les vacances s'achèvent dimanche, je viens de le dire. Avec elles, mes billets risquent fort de ne plus être journaliers, tu l'imagines bien!
Facile en ce moment de prendre le temps de taper ce à quoi j'ai pensé la veille au soir, voire pendant la nuit: j'ai du temps!
Dès lundi, les choses seront un rien plus difficiles et donc je reviendrai sans doute à mon autre rythme: un billet tous les deux jours.
Et c'est déjà pas si mal!
mercredi 24 février 2010
PetitLapin et l'avenir...
Dis-moi lecteur(trice) fidèle, tu as des enfants?...
Tu te souviens quand ils ont commencé à parler?
Aaaah.... je réveille des souvenirs, n'est-ce pas?
Quelques regrets aussi peut-être? Celui de n'avoir rien noté.
Mais si! Souviens-toi quand le petit dernier t'a fait rire par une de ces réparties enfantines que certains magazines récompensent avec un chèque.....
Combien de fois as-tu dit qu'"il faudrait les noter parce qu'on sait bien qu'on va les oublier..."
Moi non plus je n'ai pas mis par écrit les bons mots de mes enfants....
Te souviens-tu la première fois où il a dit "Quand je serai grand je serai..."?
Mon fils, le papa de PetitLapin, par exemple, quand il avait trois ou quatre ans nous déclara un jour que, quand il serait grand, il serait.... Fantôme....!
Et comme les chiens ne font pas des chats, c'est au tour de son fils de se projeter dans l'avenir.
Cet enfant est d'une intelligence remarquable. En toute objectivité.
Et plein d'imagination.
C'est en pensant à lui, qui viendra cet été j'espère (ou avant!), que je me suis lancée dans le bricolage qui a amené Karine à me lancer un défi.
Finalement ça donne ça:
Outre le cheval, que tu as vu là, un renne et un dragon.
Admire au passage les finitions des bâtons du renne et du dragon....
Puis, parce que le site d'Anne Loiseau m'avait fait craqué, j'ai fait tout ça:
Par téléphone, j'interroge le papa du PetitLapin: le petit joue-t-il à la marchande?
Non.... Mais il aime beaucoup faire semblant de servir le café....
Bien! Parmi les tomates, poireaux, rôti, pain, camenbert et autres, il y a aussi une part de gâteau au chocolat et une religieuse à la fraise.
De quoi servir avec le café en somme!
C'est à ce moment-là que j'ai appris le rêve d'avenir de mon petit-fils:
"Quand je serai grand, a-t-il déclaré à ses parents, je serai...........................
une dame!".................
Bon! déjà il a compris un certain nombre de choses:
Qu'être une "dame", c'est un métier.
Qu'être une "dame", c'est la meilleure chose qui puisse lui arriver.
Il a aussi compris que le coming out est souvent difficile, voire douloureux.
Autant s'y prendre le plus tôt possible.
Les parents ont le temps de se faire à la nouvelle.
PetitLapin est très moderne et évolué!
Et comme mon fils et sa compagne sont des êtres ouverts et intelligents, ils lui répondent:
"D'accord! on verra..."
Genre: "Si tu es sage!"
Grâce à mon petit-fils, l'homosexualité deviendra une récompense!
Tu te souviens quand ils ont commencé à parler?
Aaaah.... je réveille des souvenirs, n'est-ce pas?
Quelques regrets aussi peut-être? Celui de n'avoir rien noté.
Mais si! Souviens-toi quand le petit dernier t'a fait rire par une de ces réparties enfantines que certains magazines récompensent avec un chèque.....
Combien de fois as-tu dit qu'"il faudrait les noter parce qu'on sait bien qu'on va les oublier..."
Moi non plus je n'ai pas mis par écrit les bons mots de mes enfants....
Te souviens-tu la première fois où il a dit "Quand je serai grand je serai..."?
Mon fils, le papa de PetitLapin, par exemple, quand il avait trois ou quatre ans nous déclara un jour que, quand il serait grand, il serait.... Fantôme....!
Et comme les chiens ne font pas des chats, c'est au tour de son fils de se projeter dans l'avenir.
Cet enfant est d'une intelligence remarquable. En toute objectivité.
Et plein d'imagination.
C'est en pensant à lui, qui viendra cet été j'espère (ou avant!), que je me suis lancée dans le bricolage qui a amené Karine à me lancer un défi.
Finalement ça donne ça:
Outre le cheval, que tu as vu là, un renne et un dragon.
Admire au passage les finitions des bâtons du renne et du dragon....
Puis, parce que le site d'Anne Loiseau m'avait fait craqué, j'ai fait tout ça:
Par téléphone, j'interroge le papa du PetitLapin: le petit joue-t-il à la marchande?Non.... Mais il aime beaucoup faire semblant de servir le café....
Bien! Parmi les tomates, poireaux, rôti, pain, camenbert et autres, il y a aussi une part de gâteau au chocolat et une religieuse à la fraise.
De quoi servir avec le café en somme!
C'est à ce moment-là que j'ai appris le rêve d'avenir de mon petit-fils:
"Quand je serai grand, a-t-il déclaré à ses parents, je serai...........................
une dame!".................
Bon! déjà il a compris un certain nombre de choses:
Qu'être une "dame", c'est un métier.
Qu'être une "dame", c'est la meilleure chose qui puisse lui arriver.
Il a aussi compris que le coming out est souvent difficile, voire douloureux.
Autant s'y prendre le plus tôt possible.
Les parents ont le temps de se faire à la nouvelle.
PetitLapin est très moderne et évolué!
Et comme mon fils et sa compagne sont des êtres ouverts et intelligents, ils lui répondent:
"D'accord! on verra..."
Genre: "Si tu es sage!"
Grâce à mon petit-fils, l'homosexualité deviendra une récompense!
mardi 23 février 2010
Des excuses....
RI-DI-CU-LE....
Ce matin je vais devoir assumer...
Mon billet d'hier n'est pas qu'une grosse erreur.
Eh! Ho! Faut pas exagérer non plus!
Juste qu'à mon grand âge il est des choses que je ne sais pas.
Et je ne savais pas que les tailles américaines ne sont pas les mêmes que les nôtres.
Pour moi, les tailles américaines c'était "s", "m", "l"," xl" etc...
Et voila qu'hier, grâce à une fidèle lectrice que je ne remercierai jamais assez (grâce à laquelle je serai la risée de la blogosphère pendant les siècles à venir! Non, vraiment, je ne la remercierai jamais assez!) j'apprends que nos merveilleuses créatrices mettent les tailles de leurs jeans en américain!.....
Grâce à elle, je crois avoir compris que le "26" incriminé serait l'équivalent de notre "36". Faut-il alors rajouter "10" à chaque fois?... Non, parce que du coup, je risque d'y retourner sur le site en question....
Bon, revenons à nos moutons...
Alors ce matin je me dois (et même que j'aurai peut-être dû le faire dès la première phrase) de présenter mes excuses à Inès de la Fressange. Oui, aujourd'hui je mets son nom.
Puisque j'ai été injuste, il faut que j'assume et que j'aille jusqu'au bout. Alors aujourd'hui, je cite son nom.
Il se trouve que j'aime énormément son prénom. (Certes ça n'a rien à voir avec la couture!)
Si je n'était pas tombée sur le site de ventes hier; si j'avais été moins ignare... (on me dit dans l'oreillette "si tu t'étais renseignée avant de râler".... C'est pas faux!).
Bref! Avant hier je n'avais rien contre cette dame.
Même je l'admirais un peu.
Ben oui.... Je la trouve plutôt belle et classe... Chic, même. ("Chic"... plus personne ne dit ça Mamy!)
Madame, je vous présente mes excuses.... Sincèrement.
Mais au-delà de cette erreur, avoue que tout mon billet n'était pas idiot.
Reconnais (oui, toi lecteur fidèle, Inès, je ne peux pas me permettre de la tutoyer.... je ne pourrai plus jamais d'ailleurs!) que c'est vrai: tous les printemps chaque magazine nous propose un régime et nous culpabilise sur nos rondeurs. (Euh là, Noémie, je t'autorise à ne pas rebondir sur "nos rondeurs).
Que celle qui n'a jamais tenté de perdre "trois kilos avant l'été" me lance la première balance....
Le sujet me touche il faut croire.... Et il m'arrivera encore d'en parler. (Si, si!)
Ce matin je vais devoir assumer...
Mon billet d'hier n'est pas qu'une grosse erreur.
Eh! Ho! Faut pas exagérer non plus!
Juste qu'à mon grand âge il est des choses que je ne sais pas.
Et je ne savais pas que les tailles américaines ne sont pas les mêmes que les nôtres.
Pour moi, les tailles américaines c'était "s", "m", "l"," xl" etc...
Et voila qu'hier, grâce à une fidèle lectrice que je ne remercierai jamais assez (grâce à laquelle je serai la risée de la blogosphère pendant les siècles à venir! Non, vraiment, je ne la remercierai jamais assez!) j'apprends que nos merveilleuses créatrices mettent les tailles de leurs jeans en américain!.....
Grâce à elle, je crois avoir compris que le "26" incriminé serait l'équivalent de notre "36". Faut-il alors rajouter "10" à chaque fois?... Non, parce que du coup, je risque d'y retourner sur le site en question....
Bon, revenons à nos moutons...
Alors ce matin je me dois (et même que j'aurai peut-être dû le faire dès la première phrase) de présenter mes excuses à Inès de la Fressange. Oui, aujourd'hui je mets son nom.
Puisque j'ai été injuste, il faut que j'assume et que j'aille jusqu'au bout. Alors aujourd'hui, je cite son nom.
Il se trouve que j'aime énormément son prénom. (Certes ça n'a rien à voir avec la couture!)
Si je n'était pas tombée sur le site de ventes hier; si j'avais été moins ignare... (on me dit dans l'oreillette "si tu t'étais renseignée avant de râler".... C'est pas faux!).
Bref! Avant hier je n'avais rien contre cette dame.
Même je l'admirais un peu.
Ben oui.... Je la trouve plutôt belle et classe... Chic, même. ("Chic"... plus personne ne dit ça Mamy!)
Madame, je vous présente mes excuses.... Sincèrement.
Mais au-delà de cette erreur, avoue que tout mon billet n'était pas idiot.
Reconnais (oui, toi lecteur fidèle, Inès, je ne peux pas me permettre de la tutoyer.... je ne pourrai plus jamais d'ailleurs!) que c'est vrai: tous les printemps chaque magazine nous propose un régime et nous culpabilise sur nos rondeurs. (Euh là, Noémie, je t'autorise à ne pas rebondir sur "nos rondeurs).
Que celle qui n'a jamais tenté de perdre "trois kilos avant l'été" me lance la première balance....
Le sujet me touche il faut croire.... Et il m'arrivera encore d'en parler. (Si, si!)
lundi 22 février 2010
la taille que je ne fais pas!
Sans être une fan du pantalon, il m'arrive d'en porter. C'est relativement récent. Il y a six ans, je n'en possédais aucun.
Un jour j'ai découvert le tailleur pantalon et je m'y suis mise.
En revanche, point de jean dans mes placards.
Pourquoi?
Parce que je n'aime pas. C'est tout et c'est suffisant.
Pourtant je ne suis pas contre l'idée de porter un pantalon de coton ou de lin, un truc pour la détente si tu vois ce que je veux dire.
Mais je suis ronde.
Aussi dois-je faire très attention au modèle, à la coupe....
Pour la couleur, pas de problème: noir ou gris.
J'ai reçu hier une pub pour une marque créée par un ancien mannequin.
Ses jeans étaient proposés avec une belle démarque.
Tiens! me dis-je in petto, voila peut-être l'occasion d'avoir un pantalon beau-pas-cher-bien-coupé.
C'est là que je commence à m'énerver.
Et tu vas vite comprendre pourquoi! Tu vas vite être d'accord avec moi aussi.
Parce que cette dame, si elle propose en effet de jolies choses, si la démarque fait passer le jean de 169 à 89 euros, me semble bien dangereuse.
Oui, oui! Tu as bien lu! Dangereuse!
Parce que ses jeans, ils existent de la taille 26 à la taille 36......................................................
Alors 36 c'est pas bien grand et je connais un certain nombre de filles qui ont réellement besoin de cette taille.
34 c'est vraiment petit. Mais je sais que si tu fais un mètre cinquante pour quarante kilos, c'est à peu près la bonne taille.
Mais 26???????????????????????????????????????????????
Si ces jeans étaient proposés avec des jambes très courtes, je dirais que c'est une autre façon de dire "taille 10 ans".
Mais une fille de 10 ans qui mesure plus d'un mètre cinquante, si elle fait moins de quarante kilos, n'est pas au mieux de sa forme!
Et dans ce cas, interdiction formelle de sortir par grand vent. Interdiction de rester dans un courant d'air....
Non, sérieux, c'est un coup à tomber et se casser quelque chose!
Ah! Et ne viens pas me dire que c'est parce qu'elle ne fait pas ma taille que je pique ma colère!
Non! je pense à ces jeunes filles qui tous les ans subissent la pression des magazines leur proposant de perdre le plus de kilos possibles avant l'été.
Je pense à ces filles qui mettent leur vie en danger pour entrer dans un pantalon dont la taille soit la plus petite possible.
Et je pense à leurs mères.
Ces femmes qui vont voir leur fille littéralement disparaître sous leurs yeux.
Ces mères qui s'entendront dire par les médecins que c'est leur relation avec leur fille qui a induit ce comportement suicidaire.
Ces mères qui vont culpabiliser nuit et jour, se demandant ce qu'elles ont fait pour pousser leur fille à refuser la nourriture.
Et qui craindront chaque jour que le pire arrive à leur enfant....
Je croyais avoir lu que les professionnels de la mode s'activaient pour lutter contre ces images de filles trop maigres. J'avais la certitude qu'ils avaient pris conscience de leur responsabilité quant à l'image projetée et qui devient un diktat.
Je sais bien que mon coup de gueule n'y changera rien.
Et si je ne mets pas le nom de la créatrice, ce n'est pas pour éviter le procès. C'est juste que je ne veux en aucun cas, et sous nulle forme, lui faire la moindre pub.
Je profite de ma participation au concours Marie-Claire pour interpeller les magazines féminins: que faites-vous contre ce fléau? Allez-vous encore cette année proposer LE régime miracle? Est-il possible au début du printemps de lire autre chose que les articles sur la minceur qu'il faudra forcément afficher cet été?
Certes les jeunes filles qui tombent dans le piège n'ont pas besoin de lire des magazines pour trouver les moyens d'aller au bout de leur folie.
Et il serait injuste de vous rendre responsable de tout.
Mais ne peut-on envisager une saison printanière sans ce type d'article?
Bon, là, je viens de me griller! je ne serai pas élu "blog de l'année"......................................
Tant pis!
C'est mon blog!
Un jour j'ai découvert le tailleur pantalon et je m'y suis mise.
En revanche, point de jean dans mes placards.
Pourquoi?
Parce que je n'aime pas. C'est tout et c'est suffisant.
Pourtant je ne suis pas contre l'idée de porter un pantalon de coton ou de lin, un truc pour la détente si tu vois ce que je veux dire.
Mais je suis ronde.
Aussi dois-je faire très attention au modèle, à la coupe....
Pour la couleur, pas de problème: noir ou gris.
J'ai reçu hier une pub pour une marque créée par un ancien mannequin.
Ses jeans étaient proposés avec une belle démarque.
Tiens! me dis-je in petto, voila peut-être l'occasion d'avoir un pantalon beau-pas-cher-bien-coupé.
C'est là que je commence à m'énerver.
Et tu vas vite comprendre pourquoi! Tu vas vite être d'accord avec moi aussi.
Parce que cette dame, si elle propose en effet de jolies choses, si la démarque fait passer le jean de 169 à 89 euros, me semble bien dangereuse.
Oui, oui! Tu as bien lu! Dangereuse!
Parce que ses jeans, ils existent de la taille 26 à la taille 36......................................................
Alors 36 c'est pas bien grand et je connais un certain nombre de filles qui ont réellement besoin de cette taille.
34 c'est vraiment petit. Mais je sais que si tu fais un mètre cinquante pour quarante kilos, c'est à peu près la bonne taille.
Mais 26???????????????????????????????????????????????
Si ces jeans étaient proposés avec des jambes très courtes, je dirais que c'est une autre façon de dire "taille 10 ans".
Mais une fille de 10 ans qui mesure plus d'un mètre cinquante, si elle fait moins de quarante kilos, n'est pas au mieux de sa forme!
Et dans ce cas, interdiction formelle de sortir par grand vent. Interdiction de rester dans un courant d'air....
Non, sérieux, c'est un coup à tomber et se casser quelque chose!
Ah! Et ne viens pas me dire que c'est parce qu'elle ne fait pas ma taille que je pique ma colère!
Non! je pense à ces jeunes filles qui tous les ans subissent la pression des magazines leur proposant de perdre le plus de kilos possibles avant l'été.
Je pense à ces filles qui mettent leur vie en danger pour entrer dans un pantalon dont la taille soit la plus petite possible.
Et je pense à leurs mères.
Ces femmes qui vont voir leur fille littéralement disparaître sous leurs yeux.
Ces mères qui s'entendront dire par les médecins que c'est leur relation avec leur fille qui a induit ce comportement suicidaire.
Ces mères qui vont culpabiliser nuit et jour, se demandant ce qu'elles ont fait pour pousser leur fille à refuser la nourriture.
Et qui craindront chaque jour que le pire arrive à leur enfant....
Je croyais avoir lu que les professionnels de la mode s'activaient pour lutter contre ces images de filles trop maigres. J'avais la certitude qu'ils avaient pris conscience de leur responsabilité quant à l'image projetée et qui devient un diktat.
Je sais bien que mon coup de gueule n'y changera rien.
Et si je ne mets pas le nom de la créatrice, ce n'est pas pour éviter le procès. C'est juste que je ne veux en aucun cas, et sous nulle forme, lui faire la moindre pub.
Je profite de ma participation au concours Marie-Claire pour interpeller les magazines féminins: que faites-vous contre ce fléau? Allez-vous encore cette année proposer LE régime miracle? Est-il possible au début du printemps de lire autre chose que les articles sur la minceur qu'il faudra forcément afficher cet été?
Certes les jeunes filles qui tombent dans le piège n'ont pas besoin de lire des magazines pour trouver les moyens d'aller au bout de leur folie.
Et il serait injuste de vous rendre responsable de tout.
Mais ne peut-on envisager une saison printanière sans ce type d'article?
Bon, là, je viens de me griller! je ne serai pas élu "blog de l'année"......................................
Tant pis!
C'est mon blog!
dimanche 21 février 2010
On déménage!
Depuis 2001 j'ai déménagé cinq fois.
Tu pourrais croire qu'une fois installée quelque part je n'ai qu'une envie: me poser.
Lors de ces déménagements, le Héros se met entièrement à ma disposition et place chaque meuble (remarque! on en possède très peu!) exactement là, non, là, plutôt là.... Finalement là où je lui demande.
Une fois que tout est à sa place, tu pourrais croire qu'il refusera de bouger quoi que ce soit.
Erreur!
Il y a un peu plus de six mois, quand nous avons aménagé la maison de Nickelcity, nous n'avions pas de plantes, ou très peu, et le Héros n'avait qu'une table pour son bureau. (Ah... Le bureau du Héros!... Comme le mien , et encore Là, mais pour d'autres raisons, je pourrais en faire un roman!) (Tiens , en faisant les liens je m'aperçois que j'ai beaucoup parlé du mien, très peu du sien!).
Six mois plus tard, nous avons récupéré quelques petits meubles et des plantes immenses.
Le héros a réaménagé le garage et amélioré son bureau.
Le salon a été embelli et rendu plus chaleureux.
Tout va bien....
Pourtant, depuis quelques jours, chaque fois que j'entre dans le salon, je suis insastisfaite.
Le drachaena est coincé contre le mur de droite.
L'aquarium est peu accessible.
le coffre mahorais n'est pas mis en valeur.
"Dis, on pourrait pas essayer de changer quelques trucs?.... Et si ça ne va pas, on remet tout à sa place!...."
Sans hésiter le Héros remonte ses manches et attend mes indications (non, ce ne sont pas des ordres parce que je termine toutes mes propositions par "mon chéri"!).
D'abord, libérer tout le fond de la pièce.
Oter tout ce qui était là, pour mieux voir où je veux, pense, suggère, propose (mon chéri) de mettre chaque chose.
La télé, le meuble qui la supporte: changement de place.
Le drachaena, les petites compositions de plantes: hop, ici.
L'aquarium, plutot là.
Tourne un peu plus à droite....
Pousse plus vers le mur.... Non, c'était mieux juste avant....
Et ça, ce serait pas mieux si... Essaye pour voir... Non, ça va pas.
Tiens, là, ça va être parfait... Un peu plus à gauche. ramène vers moi. Non! Pas tant! Oui, comme ça.
Non, ça c'est trop près du radiateur. Oui comme ça. Ah! mais du coup il faut trouver une autre place pour ce machin.
Là?.... Non. Là?... Mouais.... Oui! Là! C'est parfait!
Et ça là?.... C'est bien comme ça non?
Si, mais du coup le grand tableau se trouve juste au-dessus de la télé et ça ne fait pas beau.
Je vais le changer de place, si tu veux....
On pourrait mettre ces trois petites peintures ici, non?
Comme ça?.... Non plutot comme ça.... Tiens regarde, comme ça!
Deux heures plus tard, nous nous effondrons dans le canapé.
C'est beaucoup mieux ainsi.
Et, comme à chaque changement, nous sommes d'accord pour dire que, comme ça, on a une impression d'espace plus vaste.
le Héros se redresse alors, part tranquillement vers son bureau, puis se retourne et me lance:
"On ne touche plus à rien.... Avant deux mois!"
Tu pourrais croire qu'une fois installée quelque part je n'ai qu'une envie: me poser.
Lors de ces déménagements, le Héros se met entièrement à ma disposition et place chaque meuble (remarque! on en possède très peu!) exactement là, non, là, plutôt là.... Finalement là où je lui demande.
Une fois que tout est à sa place, tu pourrais croire qu'il refusera de bouger quoi que ce soit.
Erreur!
Il y a un peu plus de six mois, quand nous avons aménagé la maison de Nickelcity, nous n'avions pas de plantes, ou très peu, et le Héros n'avait qu'une table pour son bureau. (Ah... Le bureau du Héros!... Comme le mien , et encore Là, mais pour d'autres raisons, je pourrais en faire un roman!) (Tiens , en faisant les liens je m'aperçois que j'ai beaucoup parlé du mien, très peu du sien!).
Six mois plus tard, nous avons récupéré quelques petits meubles et des plantes immenses.
Le héros a réaménagé le garage et amélioré son bureau.
Le salon a été embelli et rendu plus chaleureux.
Tout va bien....
Pourtant, depuis quelques jours, chaque fois que j'entre dans le salon, je suis insastisfaite.
Le drachaena est coincé contre le mur de droite.
L'aquarium est peu accessible.
le coffre mahorais n'est pas mis en valeur.
"Dis, on pourrait pas essayer de changer quelques trucs?.... Et si ça ne va pas, on remet tout à sa place!...."
Sans hésiter le Héros remonte ses manches et attend mes indications (non, ce ne sont pas des ordres parce que je termine toutes mes propositions par "mon chéri"!).
D'abord, libérer tout le fond de la pièce.
Oter tout ce qui était là, pour mieux voir où je veux, pense, suggère, propose (mon chéri) de mettre chaque chose.
La télé, le meuble qui la supporte: changement de place.
Le drachaena, les petites compositions de plantes: hop, ici.
L'aquarium, plutot là.
Tourne un peu plus à droite....
Pousse plus vers le mur.... Non, c'était mieux juste avant....
Et ça, ce serait pas mieux si... Essaye pour voir... Non, ça va pas.
Tiens, là, ça va être parfait... Un peu plus à gauche. ramène vers moi. Non! Pas tant! Oui, comme ça.
Non, ça c'est trop près du radiateur. Oui comme ça. Ah! mais du coup il faut trouver une autre place pour ce machin.
Là?.... Non. Là?... Mouais.... Oui! Là! C'est parfait!
Et ça là?.... C'est bien comme ça non?
Si, mais du coup le grand tableau se trouve juste au-dessus de la télé et ça ne fait pas beau.
Je vais le changer de place, si tu veux....
On pourrait mettre ces trois petites peintures ici, non?
Comme ça?.... Non plutot comme ça.... Tiens regarde, comme ça!
Deux heures plus tard, nous nous effondrons dans le canapé.
C'est beaucoup mieux ainsi.
Et, comme à chaque changement, nous sommes d'accord pour dire que, comme ça, on a une impression d'espace plus vaste.
le Héros se redresse alors, part tranquillement vers son bureau, puis se retourne et me lance:
"On ne touche plus à rien.... Avant deux mois!"
samedi 20 février 2010
De bric et de broc...
Il y a quelques jours je te montrais le cheval-balai que je venais de terminer.
Karine m'avait alors proposé un concours.
Va voir là, elle explique fort bien ce que nous proposons et ce qu'on attend de toi. Tu verras que tu as tout le temps de t'y mettre!
Dans un tout autre domaine.....
Non, je ne me mets pas au régime.
Non, il ne s'agit pas de mes courses de ce matin.....
Tu l'as compris, inspirée par le blog d'Anne Loiseau, je me suis lancée. Mais je n'ai que peu de feutrine: de la verte et de la blanche.....
Dès que ma commande arrive, je me mets aux carottes, tomates et tout et tout!
Je me vois bien cet été, à l'ombre de l'acacia, avec PetitPoisson et Petitlapin:
"Vous voulez une belle salade Monsieur?".... "Je vous mets un peu de citron vert aussi..."
Je sais bien que le citron vert ça ne se vend pas en quartier! Mais c'est plus joli à faire!
Tu vois, la première semaine de ces vacances aura été créative............................
Et la semaine prochaine ce sera: correction des copies; préparation des cours; création d'exercices pour les 5èmes; suite du diaporama pour les BTS......................
Bref! je me remets au boulot dès lundi.
Enfin, pour clore ce billet fait de bric et de broc, voici l'info la plus importante de la journée, celle qui me plante mon acte de naissance dans les dents:
Toute la blogosphère se lève et s'écrie:
Karine m'avait alors proposé un concours.
Va voir là, elle explique fort bien ce que nous proposons et ce qu'on attend de toi. Tu verras que tu as tout le temps de t'y mettre!
Dans un tout autre domaine.....
Non, je ne me mets pas au régime.Non, il ne s'agit pas de mes courses de ce matin.....
Tu l'as compris, inspirée par le blog d'Anne Loiseau, je me suis lancée. Mais je n'ai que peu de feutrine: de la verte et de la blanche.....
Dès que ma commande arrive, je me mets aux carottes, tomates et tout et tout!
Je me vois bien cet été, à l'ombre de l'acacia, avec PetitPoisson et Petitlapin:
"Vous voulez une belle salade Monsieur?".... "Je vous mets un peu de citron vert aussi..."
Je sais bien que le citron vert ça ne se vend pas en quartier! Mais c'est plus joli à faire!
Tu vois, la première semaine de ces vacances aura été créative............................
Et la semaine prochaine ce sera: correction des copies; préparation des cours; création d'exercices pour les 5èmes; suite du diaporama pour les BTS......................
Bref! je me remets au boulot dès lundi.
Enfin, pour clore ce billet fait de bric et de broc, voici l'info la plus importante de la journée, celle qui me plante mon acte de naissance dans les dents:
Toute la blogosphère se lève et s'écrie:
"Joyeux Anniversaire!"
Ma grande fille, la maman de PetitPoisson a vingt-neuf ans aujourd'hui!Joyeux anniversaire ma fille!
Je te souhaite plein de bonnes choses et surtout une belle journée avec plein d'amour et de tendresse!
vendredi 19 février 2010
Deux cents, deux blogs....
Aujourd'hui 19 février je publie le centième billet de ce blog.
Il y a un an et une semaine naissait "Au Plus clair de la Lune", mon premier blog que j'ai laissé s'endormir quand j'ai déménagé ici à Nickelcity.
Si tu es un lecteur fidèle et ancien (pas forcément vieux, te fâche pas!), tu sais aussi que lorsque j'ai démarré celui-ci, l'autre comptait cent billets.
J'ai donc deux blogs et deux cents billets au compteur. (Et je ne parle pas des heures de vol....)
Il est peut-être temps que je m'interroge et que je fasse un petit bilan, non?
A quoi ça me sert de bloguer?
Le 12 février 2009, quand j'ai commencé à écrire sur les pages de "Au Plus Clair de la Lune", je n'allais pas très bien. ( Doux euphémisme! s'écrient en coeur Moa, la Prof de gommette et la Prof d'allemand).
Je me suis alors imposée deux contraintes: un billet par jour et la légèreté dans le ton.
Et crois-moi lecteur, ce ne fut pas toujours simple....
J'ai raconté quelques épisodes de ma vie professionnelle avec le sourire alors que dans le monde réel mes dents grinçaient à s'en émailler!
Les Gnomes que j'avais alors en face de moi avaient pourtant encore le pouvoir de me faire rire: problème de compréhension de la langue; interprétation spécieuse d'expressions courantes...
Or, comme beaucoup de profs, je disais régulièrement qu'il faudrait noter ces bons mots, ces anecdotes.
C'est ainsi que je créais "Au Plus Clair de la Lune".
Ils me faisaient rire, je voulais partager ça avec d'autres.
Mais ils n'étaient pas les seuls à me faire rire.... ou pleurer....
Bref! En bloguant je me suis obligée à rire de tout. Ce qui est dans ma nature profonde, certes, mais que certains épisodes de ma vie auraient pu me faire oublier....
Un billet par jour: l'exercice est difficile: il faut de la matière et oublier de toute urgence la procrastination qui est aussi dans ma nature profonde.
Le billet journalier me contraignait aussi à ouvrir les yeux et les oreilles en permanence, à chercher le sujet qui alimenterait le billet du lendemain.
Ici, je n'ai plus garder que la légèreté de ton parce que décidément, un billet par jour c'est compliqué si je ne veux pas tomber dans l'ennui (surtout pour toi!).
Ces deux contraintes, le billet journalier et la légèreté du ton, me forçaient à écrire, corriger, récrire, recorriger et ce jusqu'à ce que le billet soit présentable....
Alors pour répondre sans langue de bois à la question "à quoi ça me sert de bloguer?" je pourrais commencer brutalement par " à rien!".
Mais j'ajouterais très vite qu'il m'a fait connaître d'autres blogueurs(ses); qu'il m'a aidé à rire quand je n'en avais pas vraiment envie; qu'il me permet, sinon de combler, du moins d'assouvir en partie mon goût pour l'écriture.
Qu'est-ce que ça m'apporte?
Là encore, et toujours aussi brutalement, je pourrais commencer par "Rien!".
Mon blog n'est pas un blog influent; je n'ai pas mille visites par jour; il ne me rapporte pas un kopek....
C'est d'ailleurs le moment où jamais de te dire, lecteur, que les pubs qui viennent polluer ta lecture ne correspondent à aucune volonté de ma part. Elles me dérangent autant (plus?) que toi, mais je ne peux pas les empêcher. Ou alors dis-moi comment faire pour qu'elles n'apparaissent plus.
Le blog m'apporte juste quelques bons moments.
J'aime écrire (à ce sujet-là il faudra que je te fasse part d'un autre projet prochainement) et j'adore rire.
J'aime lire et j'adore les blogs qui me font rire.
Et il y en a un certain nombre: Tribulations d'un Tubercule, Mont de Pitous, Bellzouzou....Tu les trouveras dans ma blogroll, là, à droite -->
Mon blog c'est une de mes bulles dans laquelle je fais partager, parfois, mes autres bulles: la peinture, les bricolages divers.....
Je tiens à ajouter que mon blog est mon espace à moi! Aux deux contraintes citées précédemment, j'ai ajouté celle de la discrétion: pas ou très peu de vrais noms, aucune photo sur laquelle on pourrait reconnaître les personnes que j'évoque.
Quelques lecteurs préfèreraient qu'il en soit autrement. Soit ils se sont habitués et ont accepté ma pratique, soit ils ne me lisent plus.
Je m'en moque!
Le blog m'a donc offert un autre espace de liberté!
Ai-je l'intention de continuer ad vitam eternam?
Je suis bien incapable de te dire quand et si je m'arrêterais un jour.
Dès le début je ne me suis imposée qu'une chose à ce sujet: si le plaisir n'est plus au rendez-vous, j'arrête.
Alors encore un an ou dix ans?
Je ne sais pas.
Et je ne te dirai pas non plus que j'écrirai tant que j'aurai quelque chose à dire......
J'ai toujours quelque chose à dire!
Ce qui ne signifie pas que j'ai forcément envie de l'écrire....
Tu vois lecteur, le bilan est plutôt positif.
En vrai, dans le blog ce que j'aime le plus, c'est toi!
Il y a un an et une semaine naissait "Au Plus clair de la Lune", mon premier blog que j'ai laissé s'endormir quand j'ai déménagé ici à Nickelcity.
Si tu es un lecteur fidèle et ancien (pas forcément vieux, te fâche pas!), tu sais aussi que lorsque j'ai démarré celui-ci, l'autre comptait cent billets.
J'ai donc deux blogs et deux cents billets au compteur. (Et je ne parle pas des heures de vol....)
Il est peut-être temps que je m'interroge et que je fasse un petit bilan, non?
A quoi ça me sert de bloguer?
Le 12 février 2009, quand j'ai commencé à écrire sur les pages de "Au Plus Clair de la Lune", je n'allais pas très bien. ( Doux euphémisme! s'écrient en coeur Moa, la Prof de gommette et la Prof d'allemand).
Je me suis alors imposée deux contraintes: un billet par jour et la légèreté dans le ton.
Et crois-moi lecteur, ce ne fut pas toujours simple....
J'ai raconté quelques épisodes de ma vie professionnelle avec le sourire alors que dans le monde réel mes dents grinçaient à s'en émailler!
Les Gnomes que j'avais alors en face de moi avaient pourtant encore le pouvoir de me faire rire: problème de compréhension de la langue; interprétation spécieuse d'expressions courantes...
Or, comme beaucoup de profs, je disais régulièrement qu'il faudrait noter ces bons mots, ces anecdotes.
C'est ainsi que je créais "Au Plus Clair de la Lune".
Ils me faisaient rire, je voulais partager ça avec d'autres.
Mais ils n'étaient pas les seuls à me faire rire.... ou pleurer....
Bref! En bloguant je me suis obligée à rire de tout. Ce qui est dans ma nature profonde, certes, mais que certains épisodes de ma vie auraient pu me faire oublier....
Un billet par jour: l'exercice est difficile: il faut de la matière et oublier de toute urgence la procrastination qui est aussi dans ma nature profonde.
Le billet journalier me contraignait aussi à ouvrir les yeux et les oreilles en permanence, à chercher le sujet qui alimenterait le billet du lendemain.
Ici, je n'ai plus garder que la légèreté de ton parce que décidément, un billet par jour c'est compliqué si je ne veux pas tomber dans l'ennui (surtout pour toi!).
Ces deux contraintes, le billet journalier et la légèreté du ton, me forçaient à écrire, corriger, récrire, recorriger et ce jusqu'à ce que le billet soit présentable....
Alors pour répondre sans langue de bois à la question "à quoi ça me sert de bloguer?" je pourrais commencer brutalement par " à rien!".
Mais j'ajouterais très vite qu'il m'a fait connaître d'autres blogueurs(ses); qu'il m'a aidé à rire quand je n'en avais pas vraiment envie; qu'il me permet, sinon de combler, du moins d'assouvir en partie mon goût pour l'écriture.
Qu'est-ce que ça m'apporte?
Là encore, et toujours aussi brutalement, je pourrais commencer par "Rien!".
Mon blog n'est pas un blog influent; je n'ai pas mille visites par jour; il ne me rapporte pas un kopek....
C'est d'ailleurs le moment où jamais de te dire, lecteur, que les pubs qui viennent polluer ta lecture ne correspondent à aucune volonté de ma part. Elles me dérangent autant (plus?) que toi, mais je ne peux pas les empêcher. Ou alors dis-moi comment faire pour qu'elles n'apparaissent plus.
Le blog m'apporte juste quelques bons moments.
J'aime écrire (à ce sujet-là il faudra que je te fasse part d'un autre projet prochainement) et j'adore rire.
J'aime lire et j'adore les blogs qui me font rire.
Et il y en a un certain nombre: Tribulations d'un Tubercule, Mont de Pitous, Bellzouzou....Tu les trouveras dans ma blogroll, là, à droite -->
Mon blog c'est une de mes bulles dans laquelle je fais partager, parfois, mes autres bulles: la peinture, les bricolages divers.....
Je tiens à ajouter que mon blog est mon espace à moi! Aux deux contraintes citées précédemment, j'ai ajouté celle de la discrétion: pas ou très peu de vrais noms, aucune photo sur laquelle on pourrait reconnaître les personnes que j'évoque.
Quelques lecteurs préfèreraient qu'il en soit autrement. Soit ils se sont habitués et ont accepté ma pratique, soit ils ne me lisent plus.
Je m'en moque!
Le blog m'a donc offert un autre espace de liberté!
Ai-je l'intention de continuer ad vitam eternam?
Je suis bien incapable de te dire quand et si je m'arrêterais un jour.
Dès le début je ne me suis imposée qu'une chose à ce sujet: si le plaisir n'est plus au rendez-vous, j'arrête.
Alors encore un an ou dix ans?
Je ne sais pas.
Et je ne te dirai pas non plus que j'écrirai tant que j'aurai quelque chose à dire......
J'ai toujours quelque chose à dire!
Ce qui ne signifie pas que j'ai forcément envie de l'écrire....
Tu vois lecteur, le bilan est plutôt positif.
En vrai, dans le blog ce que j'aime le plus, c'est toi!
jeudi 18 février 2010
Je me souviens encore...
Je vais cesser de téléphoner à ma grande soeur.
Je n'ai aucun problème avec elle.
Bien au contraire, même!
Seulement, comme je lui téléphone, elle commente de vive voix ce qu'elle vient de lire sur ce blog.
De ce fait, elle ne double pas le commentaire en le récrivant ici.
C'est ainsi que j'appris hier que si ma boîte de Lion Noir est restée accrochée à ma mémoire, ma grande soeur se souvient parfaitement que son palet à elle était une boîte de pastilles Pulmol.
Et c'est là que l'énigme commence!
D'où venait-elle cette boîte?
Une certitude: pas de chez nous.
Notre mère avait une conception assez.... Comment dire?.... Rude de la vie.
Les enfants devaient s'endurcir et ne pas se plaindre pour un oui pour un non.
Et comme nous étions finalement des enfants ordinaires, il arrivait que nous nous plaignions.
Oh! Rien! Un soupir à peine!
Et notre mère avait alors des réponses qui auraient redonné vie à un mourant.
Tu veux un exemple? Plusieurs?
Voix traînante de l'enfant: "Maman, je ne me sens pas bien....."
Voix ferme de la mère: "Fais toi sentir par quelqu'un d'autre!"
Si c'est pas de l'humour, hein?.... Tu te sens tout de suite mieux!
Voix agacé de l'enfant, accompagné du geste adéquat: "Maman! J'ai des boutons!"
Voix ferme de la mère: "Fais des boutonnières!"
Oh ben ça va aller beaucoup mieux!
Voix suppliante de l'enfant, tôt le matin: "J'ai mal au ventre....."
Voix toujours ferme de la mère: "ça passera quand tu seras à l'école!"
Et ça passait. Fallait bien, hein!.....
Je te l'ai dit hier: j'étais une petite fille malheureuse........
Il y a un domaine pourtant où j'ai connu de grands bonheurs. (Je crains que ma grande soeur ne voit pas les choses de la même façon!).
Petite fille j'adorais les bestioles.
J'ai eu un chat, baptisé Moussy, que nous dûmes donner à un juge de paix parce que dans le nouveau bâtiment où nous allions emménager les animaux étaient interdits.
J'ai eu des poules naines.
J'ai élevé des têtards. C'était dans l'appartement où les chats avaient été interdits.
Chaque jour je vérifiais que la métamorphose s'accomplissait. Chaque année mes têtards mouraient à peine les bourgeons des pattes arrières étaient-ils apparus.
Enfin, un printemps, les petites bêtes résistèrent.
Cette année-là, les pattes arrières avaient pu se développer et les pattes antérieures commençaient à poindre.
Il faisait beau et doux. J'avais posé le gros bocal les contenant sur le bord de la fenêtre de la cuisine.
Je ne sais plus qui a heurté le bocal.... Je me souviens juste d'un cri, du bruit du verre cassé (à quel étage habitions-nous? troisième? Quatrième?).
Je me précipitai en bas pour récupérer les survivants....
Peine perdue.
Les têtards détestent l'entrainement parachutiste....
C'était bien le genre d'événement qui me rendait vraiment triste.
Place des Couronneries, j'ai eu des hamsters, et ça, ma mère détestait! La cage devait rester dans ma chambre pour qu'ils ne soient jamais sous ses yeux.
Un soir, alors que quelques jours auparavant on m'avait acheté un magnifique pantalon bleu pétrole (si, si, je te jure!), je plaçais la cage sous la chaise de mon bureau et le pantalon sur ladite chaise.
Que les jambes reposent bien à plat sur la cage ne m'interpella pas un instant!
Je découvris le lendemain que les hamsters avaient le pouvoir de faire de la dentelle avec les dents..............................
Je ne te raconte même pas la réaction de ma mère... Que le nid des hamsters soit embelli par de magnifiques morceaux bleu pétrole ne l'émut pas du tout!
A la même époque, et au même endroit, j'ai eu un grillon.
J'étais allée le ramasser dans les talus derrière chez nous, mais ne possédant que la cage des hamsters, je ne trouvais qu'une boîte à chaussures pour lui faire sa maison.
Pour qu'il ne se sauve pas, je mettais sur la boîte un joli foulard.
Peine perdue! Chaque matin le grillon était dans la baignoire, chose noire à grandes pattes sur la céramique blanche.
Et ça, ma grande soeur n'aimait pas du tout!
Dans le Sud-Ouest, j'ai eu des oiseaux et quand l'un d'eux s'est échappé pour aller se poser sur le bord du balcon du troisième étage du bâtiment d'en face, mon père a trouvé naturel que je grimpe sur la rambarde pour le récupérer....
Après ça, c'est ma petite soeur qui a eu un chien. Et ça, ça m'intéressait très moyennement.
Depuis, j'ai eu des chats, des oiseaux et des poissons rouges (ou pas rouges!).
Aujourd'hui, j'ai Morice (la chatte sociopathe) et un poisson doré (qui n'a pas de nom sinon ce serait Rambo!)
Je vais peut-être arrêter les souvenirs d'enfance.... Ma grande soeur va encore pleurer en me lisant et me dire des mots doux qui ressemblent à des noms d'oiseaux.... (C'est sa manière de montrer son émotion!).
Je n'ai aucun problème avec elle.
Bien au contraire, même!
Seulement, comme je lui téléphone, elle commente de vive voix ce qu'elle vient de lire sur ce blog.
De ce fait, elle ne double pas le commentaire en le récrivant ici.
C'est ainsi que j'appris hier que si ma boîte de Lion Noir est restée accrochée à ma mémoire, ma grande soeur se souvient parfaitement que son palet à elle était une boîte de pastilles Pulmol.
Et c'est là que l'énigme commence!
D'où venait-elle cette boîte?
Une certitude: pas de chez nous.
Notre mère avait une conception assez.... Comment dire?.... Rude de la vie.
Les enfants devaient s'endurcir et ne pas se plaindre pour un oui pour un non.
Et comme nous étions finalement des enfants ordinaires, il arrivait que nous nous plaignions.
Oh! Rien! Un soupir à peine!
Et notre mère avait alors des réponses qui auraient redonné vie à un mourant.
Tu veux un exemple? Plusieurs?
Voix traînante de l'enfant: "Maman, je ne me sens pas bien....."
Voix ferme de la mère: "Fais toi sentir par quelqu'un d'autre!"
Si c'est pas de l'humour, hein?.... Tu te sens tout de suite mieux!
Voix agacé de l'enfant, accompagné du geste adéquat: "Maman! J'ai des boutons!"
Voix ferme de la mère: "Fais des boutonnières!"
Oh ben ça va aller beaucoup mieux!
Voix suppliante de l'enfant, tôt le matin: "J'ai mal au ventre....."
Voix toujours ferme de la mère: "ça passera quand tu seras à l'école!"
Et ça passait. Fallait bien, hein!.....
Je te l'ai dit hier: j'étais une petite fille malheureuse........
Il y a un domaine pourtant où j'ai connu de grands bonheurs. (Je crains que ma grande soeur ne voit pas les choses de la même façon!).
Petite fille j'adorais les bestioles.
J'ai eu un chat, baptisé Moussy, que nous dûmes donner à un juge de paix parce que dans le nouveau bâtiment où nous allions emménager les animaux étaient interdits.
J'ai eu des poules naines.
J'ai élevé des têtards. C'était dans l'appartement où les chats avaient été interdits.
Chaque jour je vérifiais que la métamorphose s'accomplissait. Chaque année mes têtards mouraient à peine les bourgeons des pattes arrières étaient-ils apparus.
Enfin, un printemps, les petites bêtes résistèrent.
Cette année-là, les pattes arrières avaient pu se développer et les pattes antérieures commençaient à poindre.
Il faisait beau et doux. J'avais posé le gros bocal les contenant sur le bord de la fenêtre de la cuisine.
Je ne sais plus qui a heurté le bocal.... Je me souviens juste d'un cri, du bruit du verre cassé (à quel étage habitions-nous? troisième? Quatrième?).
Je me précipitai en bas pour récupérer les survivants....
Peine perdue.
Les têtards détestent l'entrainement parachutiste....
C'était bien le genre d'événement qui me rendait vraiment triste.
Place des Couronneries, j'ai eu des hamsters, et ça, ma mère détestait! La cage devait rester dans ma chambre pour qu'ils ne soient jamais sous ses yeux.
Un soir, alors que quelques jours auparavant on m'avait acheté un magnifique pantalon bleu pétrole (si, si, je te jure!), je plaçais la cage sous la chaise de mon bureau et le pantalon sur ladite chaise.
Que les jambes reposent bien à plat sur la cage ne m'interpella pas un instant!
Je découvris le lendemain que les hamsters avaient le pouvoir de faire de la dentelle avec les dents..............................
Je ne te raconte même pas la réaction de ma mère... Que le nid des hamsters soit embelli par de magnifiques morceaux bleu pétrole ne l'émut pas du tout!
A la même époque, et au même endroit, j'ai eu un grillon.
J'étais allée le ramasser dans les talus derrière chez nous, mais ne possédant que la cage des hamsters, je ne trouvais qu'une boîte à chaussures pour lui faire sa maison.
Pour qu'il ne se sauve pas, je mettais sur la boîte un joli foulard.
Peine perdue! Chaque matin le grillon était dans la baignoire, chose noire à grandes pattes sur la céramique blanche.
Et ça, ma grande soeur n'aimait pas du tout!
Dans le Sud-Ouest, j'ai eu des oiseaux et quand l'un d'eux s'est échappé pour aller se poser sur le bord du balcon du troisième étage du bâtiment d'en face, mon père a trouvé naturel que je grimpe sur la rambarde pour le récupérer....
Après ça, c'est ma petite soeur qui a eu un chien. Et ça, ça m'intéressait très moyennement.
Depuis, j'ai eu des chats, des oiseaux et des poissons rouges (ou pas rouges!).
Aujourd'hui, j'ai Morice (la chatte sociopathe) et un poisson doré (qui n'a pas de nom sinon ce serait Rambo!)
Je vais peut-être arrêter les souvenirs d'enfance.... Ma grande soeur va encore pleurer en me lisant et me dire des mots doux qui ressemblent à des noms d'oiseaux.... (C'est sa manière de montrer son émotion!).
mercredi 17 février 2010
Quand j'étais petite...
Avant d'écrire le billet du jour, qui n'a rien à voir, je mets ce lien pour toutes celles qui ont la chance d'avoir une petite(-)fille et qui voudraient lui faire une jolie dînette (Ma grande soeur, Coco, par exemple!):
http://elleadesailes.canalblog.com/archives/couture/index.html
Je suis restée scotchée ce matin.
Et je suis en pleine crise de jalousie! C'est pas juste! Moi aussi je voudrais savoir faire ça!
Je me suis trompée: il y a un lien entre ce que tu verras sur le blog cité précédemment et mon nouveau billet: l'enfance.
Hier soir, le Héros et moi avons vu un petit reportage sur les jeux de la récré. Nos vieilles mémoires ainsi sollicitées, nous avons évoqué nos propres jeux et de fil en aiguilles (tu vois il y a encore un autre lien) nos souvenirs d'enfance.
Quand j'étais petite, il y a très très très longtemps, je jouais souvent à l'élastique.
Banal me diras-tu.
Certes! Sauf que je pense être de la première génération à y avoir joué.
La plupart des filles, dont j'étais, avaient obtenu, souvent de haute lutte, que leur mère leur donne quelques mètres d'élastique dit "à culotte". Blanc souple, il se prêtait parfaitement à ce jeu que tout le monde connaît.
Parfois, une fille, dont on disait tout de suite qu'elle était riche, arrivait avec un élastique acheté au rayon jouet.
C'était facile à reconnaître: il était en couleur et surtout il n'y avait pas de noeud.
Forcément! Avec 2 mètres d'élastique à culotte, tu dois nouer les deux bouts pour pouvoir le passer autour des chevilles-mollets-genoux-mi-cuisses-cuisses-hanches-taille-poitrine-sous-les-bras (impossible de réussir les figures imposées et ce dès hanches en ce qui me concerne!).
Il y avait donc le noeuds et ses corrolaires: les bouts qui dépassent.
Tandis que l'élastique du rayon jouet, il était en un seul morceau. Pas de noeud.....
Un souvenir très précis me revient.
J'étais à l'école Chachon (je peux le noter il n'y a que ma grande soeur qui identifiera le lieu).
Rigole! C'était le vrai nom du quartier où se trouvait mon école.
Je m'étais cassée la jambe et on m'obligeait à marcher avec une canne.
Tu parles si j'avais envie d'aller en récré avec ma canne!
Je suis donc sortie de la classe sans.
Tandis que je regardais avec envie trois de mes petites camarades sauter et virevolter chacune leur tour avec plus ou moins de grâce, je sentis tout à coup quelques coups légers frappés sur ma jambe.
En me retournant, je tombais nez à nez avec Madame Desèvres, la vieille maîtresse qui m'impressionnait tant.
C'est avec ma canne qu'elle tapotait ma jambe.
Elle me donna alors le choix: en récré avec la canne ou sans la canne dans la salle de classe à l'heure de la récré.....
Oui..... J'ai été une petite fille très malheureuse!...........................
Autre jeu: la marelle!
Ah la marelle! Avec son ciel et son enfer!
Et ses palets!
Au début, je jouais avec une pierre plate en guise de palet (je te rappelle que tout ça remonte à ....pffffff.... avant ça, même! Et qu'on n'était pas riche chez nous!).
Et je rêvais d'avoir un jour le même palet que ma copine: une boîte de cirage "Lion Noir"!
Tu sais ces boîtes de cirages rondes, avec un petit papillon de métal doré sur le côté pour les ouvrir...
Et un jour, une boîte de cirage fut vide à la maison! Quel bonheur! J'avais enfin le palet de mes rêves!....
Il ne me rendait pas plus adroite dans le lancer, mais j'avais la fierté de posséder un beau palet.
Non..... Je n'ai jamais été une petite fille exigeante.............
Aaaahhh les souvenirs d'enfance..................................
Un autre jour, si tu es très gentil(le) je te raconterai les grillons et les têtards.
Il faut bien que je garde un peu d'inspiration sous le coude, non?
http://elleadesailes.canalblog.com/archives/couture/index.html
Je suis restée scotchée ce matin.
Et je suis en pleine crise de jalousie! C'est pas juste! Moi aussi je voudrais savoir faire ça!
Je me suis trompée: il y a un lien entre ce que tu verras sur le blog cité précédemment et mon nouveau billet: l'enfance.
Hier soir, le Héros et moi avons vu un petit reportage sur les jeux de la récré. Nos vieilles mémoires ainsi sollicitées, nous avons évoqué nos propres jeux et de fil en aiguilles (tu vois il y a encore un autre lien) nos souvenirs d'enfance.
Quand j'étais petite, il y a très très très longtemps, je jouais souvent à l'élastique.
Banal me diras-tu.
Certes! Sauf que je pense être de la première génération à y avoir joué.
La plupart des filles, dont j'étais, avaient obtenu, souvent de haute lutte, que leur mère leur donne quelques mètres d'élastique dit "à culotte". Blanc souple, il se prêtait parfaitement à ce jeu que tout le monde connaît.
Parfois, une fille, dont on disait tout de suite qu'elle était riche, arrivait avec un élastique acheté au rayon jouet.
C'était facile à reconnaître: il était en couleur et surtout il n'y avait pas de noeud.
Forcément! Avec 2 mètres d'élastique à culotte, tu dois nouer les deux bouts pour pouvoir le passer autour des chevilles-mollets-genoux-mi-cuisses-cuisses-hanches-taille-poitrine-sous-les-bras (impossible de réussir les figures imposées et ce dès hanches en ce qui me concerne!).
Il y avait donc le noeuds et ses corrolaires: les bouts qui dépassent.
Tandis que l'élastique du rayon jouet, il était en un seul morceau. Pas de noeud.....
Un souvenir très précis me revient.
J'étais à l'école Chachon (je peux le noter il n'y a que ma grande soeur qui identifiera le lieu).
Rigole! C'était le vrai nom du quartier où se trouvait mon école.
Je m'étais cassée la jambe et on m'obligeait à marcher avec une canne.
Tu parles si j'avais envie d'aller en récré avec ma canne!
Je suis donc sortie de la classe sans.
Tandis que je regardais avec envie trois de mes petites camarades sauter et virevolter chacune leur tour avec plus ou moins de grâce, je sentis tout à coup quelques coups légers frappés sur ma jambe.
En me retournant, je tombais nez à nez avec Madame Desèvres, la vieille maîtresse qui m'impressionnait tant.
C'est avec ma canne qu'elle tapotait ma jambe.
Elle me donna alors le choix: en récré avec la canne ou sans la canne dans la salle de classe à l'heure de la récré.....
Oui..... J'ai été une petite fille très malheureuse!...........................
Autre jeu: la marelle!
Ah la marelle! Avec son ciel et son enfer!
Et ses palets!
Au début, je jouais avec une pierre plate en guise de palet (je te rappelle que tout ça remonte à ....pffffff.... avant ça, même! Et qu'on n'était pas riche chez nous!).
Et je rêvais d'avoir un jour le même palet que ma copine: une boîte de cirage "Lion Noir"!
Tu sais ces boîtes de cirages rondes, avec un petit papillon de métal doré sur le côté pour les ouvrir...
Et un jour, une boîte de cirage fut vide à la maison! Quel bonheur! J'avais enfin le palet de mes rêves!....
Il ne me rendait pas plus adroite dans le lancer, mais j'avais la fierté de posséder un beau palet.
Non..... Je n'ai jamais été une petite fille exigeante.............
Aaaahhh les souvenirs d'enfance..................................
Un autre jour, si tu es très gentil(le) je te raconterai les grillons et les têtards.
Il faut bien que je garde un peu d'inspiration sous le coude, non?
mardi 16 février 2010
Vous avez dit culture?
Le propre de ce blog c'est de parler de tout et, surtout, de n'importe quoi!
Hier le maquillage, aujourd'hui, le jardinage.
Oui, je sais c'est un peu tôt pour les tomates et les salades.
Aussi vais-je immédiatement rectifier: aujourd'hui c'est horticulture................
Rien de moins.
Et quand tu auras lu ce billet, ami lecteur, tu constateras que je te dis l'entière vérité.
Pour bien commencer, qui pourrait me dire, comme ça, avec quelques minutes de réflexion ce que c'est que ça?
Hier le maquillage, aujourd'hui, le jardinage.
Oui, je sais c'est un peu tôt pour les tomates et les salades.
Aussi vais-je immédiatement rectifier: aujourd'hui c'est horticulture................
Rien de moins.
Et quand tu auras lu ce billet, ami lecteur, tu constateras que je te dis l'entière vérité.
Pour bien commencer, qui pourrait me dire, comme ça, avec quelques minutes de réflexion ce que c'est que ça?
Mon père, sans hésiter aurait répondu: "des graines de poivrier du Brésil!".
Mais mon père n'y connaissait rien en plantes et en fleurs et, à la question "C'est quoi cette plante (cet arbre) Papa?" il répondait invariablement: "un poivrier du Brésil!".
Le Héros, interrogé à l'instant affirme que ce sont des spermatozoïdes de mammouth ... C'est malin, tiens!
Alors non, ce n'est pas la bonne réponse.
Ces trucs qui ressemblent à des grains d'orge gonflés d'eau, et qui ne sont pas des graines, devraient donner (d'ici un siècle ou deux, au bas mot) ceci!
Il s'agit d'une orchidée colombe.....
C'est beau, non?....Enfin! ce sera beau si ça pousse!
Et pour être honnête et sincère j'ai, comment dire?... Comme un doute...
Malgré tout, j'ai placé les deux griffes (parce qu'il s'agit de griffes et non pas de graines!) sur un morceau de feutre pour végétaux, lui-même posé sur le terreau spécial pour orchidée.
Le pot, qui contient le pot en plastique réglementaire mais moche, est magnifique: en céramique, rond et d'un beau rouge profond..... Si l'orchidée ne pousse pas, j'aurai toujours une jolie poterie!
Et faire pousser une orchidée à partir d'une minuscule griffe de rien du tout, c'est pas de l'horticulture peut-être?
lundi 15 février 2010
Attention: billet girly+++
Je fais rarement de la pub, mais là, je ne vais pas hésiter une seconde.
Quand le produit est bon, je ne vois pas pourquoi je me gênerais!
Non! Je ne suis pas sponsorisée. (Mais je vais finir par le regretter!)
Séquence nostalgie pour commencer.
Je me suis maquiller assez tôt (il y a 3 ou 4 ans à peine) puisque j'avais 14 ou 15 ans...........*
La mode était alors au bleu.
Et surtout, la mode était encore à l'eyeliner.
Les fonds de teint étaient souvent foncés et épais. J'étais jeune et n'en utilisais pas.
Les yeux, et les cils bien sûr, le fard à joues, et, touche finale, le rouge à lèvres.
A l'époque ça suffisait.
Et maintenant?........................
Les années ont passé, et je me dois de travailler un peu plus chaque matin pour avoir l'air humaine!
Alors c'est la totale.
Non, pas le crépi non plus!
Je viens de renouveler en partie ma trousse et quelques découvertes, quelques retours en arrière aussi m'ont donné envie de vous raconter ce qui suit.
Pour le teint, je craque rarement pour un produit nouveau, mais là, je ne peux que saluer le fond de teint que la belle Gabrielle des Desesperate vante depuis plusieurs semaines: Roll-on accord parfait de l'Oréal....
Certes tu te sens dans la peau de Valérie Damidot quand tu passes le rouleau sur ton visage.
Pourtant, inutile de croiser les couches....
Force est de constater que tu ne déposes que la quantité de produit nécessaire.
Tu t'inquiètes pour les ailes du nez? regarde la pub, la démonstration t'y est offerte.
Au final: un teint uni sans surcharge................ Parfait en somme! La pub ne ment pas.
Passons aux yeux.
Aaaahhh.... L'eyeliner de ma jeunesse....
A l'époque, tu avais le choix.
Le pinceau, trop long et trop mou qu'il fallait manier avec une grande dextérité ou accompagné de coton-tiges pour réussir (ou rectifier) le trait sublime: très fin dans le coin intérieur de la paupière supérieure, plus appuyé sur la partie centrale de la même paupière et effilage vers la tempe. Sur la paupière inférieure, un trait fin, uniforme et s'étirant vers le haut pour rejoindre le trait supérieur.
Tu pouvais aussi te servir du feutre. Comme celui de ta trousse d'écolière, mais pour les yeux.
Le feutre: efficace mais trop cher pour les finances dont je disposais.
L'oeil de biche était le top du top alors.
Les années ont passé et le liner a un peu perdu de son charme.
Les crayons de toutes sortes l'ont remplacé pour le plus grand plaisir des maladroites, des mères "la tremblote".... Ou des plus pressées dont je fais partie.
Je l'ai aussi délaissé pour un maquillage plus léger, plus naturel.
L'art de l'oeil "smoky" est redevenu très en vogue depuis un moment déjà.
C'est la même procédure que le bleu de l'époque, mais avec du gris et du noir (en gros).
A l'époque je faisais ça en quelques minutes. J'ai pourtant hésité avant de m'y remettre.
Cependant l'envie était bien là.
Cette semaine l'occasion s'est présentée sous la forme d'une promo sympa: deux produits achetés dans la même marque le troisième offert.
je ne connaissais pas la marque, vendue dans un magasin de produits pour salons de coiffure:
Copines.
J'étais en panne de fard à joues, j'avais envie de fard à paupières.
J'ai craqué pour un trio smoky et je choisis le liner en cadeau...................
Hier, début de vacances, je me lance dans les essais.
Essai 1: trop chargé.
Essai 2: j'ai retrouvé le tour de main.
Du mascara (plein parce que question cils j'étais pas à la distribution !) et voila!
Pour le regard c'est impeccable. Le ton foncé (mais pas trop) et mat met en évidence mes mâââgnifiques yeux très clairs.
Pour la bouche, pas de changement depuis le début: rouge, cerise ou framboise écrasée, mais rouge!
Quand je sors de la salle de bains, le héros attend patiemment de voir le résultat. Je crains qu'il ne trouve cela trop lourd, trop noir, trop.......................
ben non! Il aime! Il aime même beaucoup!
Et il aime encore plus (comme moi) quand je remets mes nouvelles lunettes. (C'est vrai qu'elles sont vraiment chouettes et un rien sexy!)
Je précise que ce n'est pas le maquillage que je ferai pour aller au collège ou au lycée. Mais pour une soirée un peu habillée, ce sera tout à fait bien.
Non, tu ne verras pas de photo.
Je te rappelle que, sauf si on se connaît dans la vraie vie, il n'y a aucune raison pour que je m'expose.
Sortir sous les flashes des paparazzi, très peu pour moi!
* Je crois bien que je n'ai pas vu le temps passer.... Il y a plus que 4 ou 5 ans qui se sont écoulés... Beaueaueaucouououp plus!
Quand le produit est bon, je ne vois pas pourquoi je me gênerais!
Non! Je ne suis pas sponsorisée. (Mais je vais finir par le regretter!)
Séquence nostalgie pour commencer.
Je me suis maquiller assez tôt (il y a 3 ou 4 ans à peine) puisque j'avais 14 ou 15 ans...........*
La mode était alors au bleu.
Et surtout, la mode était encore à l'eyeliner.
Les fonds de teint étaient souvent foncés et épais. J'étais jeune et n'en utilisais pas.
Les yeux, et les cils bien sûr, le fard à joues, et, touche finale, le rouge à lèvres.
A l'époque ça suffisait.
Et maintenant?........................
Les années ont passé, et je me dois de travailler un peu plus chaque matin pour avoir l'air humaine!
Alors c'est la totale.
Non, pas le crépi non plus!
Je viens de renouveler en partie ma trousse et quelques découvertes, quelques retours en arrière aussi m'ont donné envie de vous raconter ce qui suit.
Pour le teint, je craque rarement pour un produit nouveau, mais là, je ne peux que saluer le fond de teint que la belle Gabrielle des Desesperate vante depuis plusieurs semaines: Roll-on accord parfait de l'Oréal....
Certes tu te sens dans la peau de Valérie Damidot quand tu passes le rouleau sur ton visage.
Pourtant, inutile de croiser les couches....
Force est de constater que tu ne déposes que la quantité de produit nécessaire.
Tu t'inquiètes pour les ailes du nez? regarde la pub, la démonstration t'y est offerte.
Au final: un teint uni sans surcharge................ Parfait en somme! La pub ne ment pas.
Passons aux yeux.
Aaaahhh.... L'eyeliner de ma jeunesse....
A l'époque, tu avais le choix.
Le pinceau, trop long et trop mou qu'il fallait manier avec une grande dextérité ou accompagné de coton-tiges pour réussir (ou rectifier) le trait sublime: très fin dans le coin intérieur de la paupière supérieure, plus appuyé sur la partie centrale de la même paupière et effilage vers la tempe. Sur la paupière inférieure, un trait fin, uniforme et s'étirant vers le haut pour rejoindre le trait supérieur.
Tu pouvais aussi te servir du feutre. Comme celui de ta trousse d'écolière, mais pour les yeux.
Le feutre: efficace mais trop cher pour les finances dont je disposais.
L'oeil de biche était le top du top alors.
Les années ont passé et le liner a un peu perdu de son charme.
Les crayons de toutes sortes l'ont remplacé pour le plus grand plaisir des maladroites, des mères "la tremblote".... Ou des plus pressées dont je fais partie.
Je l'ai aussi délaissé pour un maquillage plus léger, plus naturel.
L'art de l'oeil "smoky" est redevenu très en vogue depuis un moment déjà.
C'est la même procédure que le bleu de l'époque, mais avec du gris et du noir (en gros).
A l'époque je faisais ça en quelques minutes. J'ai pourtant hésité avant de m'y remettre.
Cependant l'envie était bien là.
Cette semaine l'occasion s'est présentée sous la forme d'une promo sympa: deux produits achetés dans la même marque le troisième offert.
je ne connaissais pas la marque, vendue dans un magasin de produits pour salons de coiffure:
Copines.
J'étais en panne de fard à joues, j'avais envie de fard à paupières.
J'ai craqué pour un trio smoky et je choisis le liner en cadeau...................
Hier, début de vacances, je me lance dans les essais.
Essai 1: trop chargé.
Essai 2: j'ai retrouvé le tour de main.
Du mascara (plein parce que question cils j'étais pas à la distribution !) et voila!
Pour le regard c'est impeccable. Le ton foncé (mais pas trop) et mat met en évidence mes mâââgnifiques yeux très clairs.
Pour la bouche, pas de changement depuis le début: rouge, cerise ou framboise écrasée, mais rouge!
Quand je sors de la salle de bains, le héros attend patiemment de voir le résultat. Je crains qu'il ne trouve cela trop lourd, trop noir, trop.......................
ben non! Il aime! Il aime même beaucoup!
Et il aime encore plus (comme moi) quand je remets mes nouvelles lunettes. (C'est vrai qu'elles sont vraiment chouettes et un rien sexy!)
Je précise que ce n'est pas le maquillage que je ferai pour aller au collège ou au lycée. Mais pour une soirée un peu habillée, ce sera tout à fait bien.
Non, tu ne verras pas de photo.
Je te rappelle que, sauf si on se connaît dans la vraie vie, il n'y a aucune raison pour que je m'expose.
Sortir sous les flashes des paparazzi, très peu pour moi!
* Je crois bien que je n'ai pas vu le temps passer.... Il y a plus que 4 ou 5 ans qui se sont écoulés... Beaueaueaucouououp plus!
samedi 13 février 2010
Tête de...............
Les vacances vont être l'occasion pour moi de.... me reposer.
Mais ça, c'est une évidence!
Je vais aussi en profiter pour participer au concours lancer par Marie-Claire: regarde, lecteur fidèle, là, sur la colonne de droite....
En effet, tu le sais sans doute, il est des blogs où on lance le défi de la semaine ou le défi du mois.
Ici même et Là aussi, c'est le défi du siècle qui est lancé!
Oui! Du siècle, rien de moins!
Je n'aime pas faire les choses à moitié, alors c'est le défi du siècle ou rien!
Si tu viens ici régulièrement, tu as lu le billet "ouverture du haras". Si tu es passionné(e) par ce blog tu as lu aussi les commentaires.
Tu sais donc que Karine, l'auteur de Zélice et merveilles , m'a proposé ce défi.
Et comme j'ai du temps à perdre!..............
(Je rappelle que je suis prof ET en vacances!)
Mais là où ça devient intéressant c'est que tout le monde peut participer.
(Là je suis morte de rire! Sur mes douze lecteurs(trices) habituel(lle)s je n'en vois qu'une capable de relever le défi! Pourvu que Karine soit mieux pourvue que moi!)
Comment?
Tu fais une tête de renne qui deviendra soit une monture, comme le cheval-bâton du billet précédent, soit un trophée à accrocher au-dessus de ta cheminée, ou encore, avec onze mois d'avance, le centre d'une couronne de noêl.
Tu dois la réaliser en tissu ou au tricot ou au crochet.................
On me demande dans l'oreillette si on peut en fabriquer en papier mâché ou en Isorel perforé?.................
Oui! Tu dois juste faire une tête de renne.
Interdiction formel de foncer au Canada et d'abattre un animal pour lui prendre la tête.
Aucun animal n'aura à souffrir de ce défi!
Qu'y a-t-il à gagner?
A part être vu par des milliers de lecteurs, je vois pas bien.
Mais on va en discuter avec Karine et on t'en dira plus d'ici quelques jours.
Qui votera?
Strictement aucune idée.
Je vais aussi en discuter avec Karine.
Cependant, dis-toi tout de suite qu'elle et moi seront de toutes façons les meilleures!
(Quoi tricheuses?....)
Allez, au lieu de te, et de me, poser des questions oiseuses, mets-toi au boulot!
Mais ça, c'est une évidence!
Je vais aussi en profiter pour participer au concours lancer par Marie-Claire: regarde, lecteur fidèle, là, sur la colonne de droite....
Après avoir lu ce billet, tu iras sur le site de Marie-Claire et tu sauras tout!
Tu n'auras aucune responsabilité dans l'élection, puisque c'est un jury de la rédaction qui décidera...
Et ce n'est pas tout! ............Il va se passer des choses ici!
En effet, tu le sais sans doute, il est des blogs où on lance le défi de la semaine ou le défi du mois.
Ici même et Là aussi, c'est le défi du siècle qui est lancé!
Oui! Du siècle, rien de moins!
Je n'aime pas faire les choses à moitié, alors c'est le défi du siècle ou rien!
Si tu viens ici régulièrement, tu as lu le billet "ouverture du haras". Si tu es passionné(e) par ce blog tu as lu aussi les commentaires.
Tu sais donc que Karine, l'auteur de Zélice et merveilles , m'a proposé ce défi.
Et comme j'ai du temps à perdre!..............
(Je rappelle que je suis prof ET en vacances!)
Mais là où ça devient intéressant c'est que tout le monde peut participer.
(Là je suis morte de rire! Sur mes douze lecteurs(trices) habituel(lle)s je n'en vois qu'une capable de relever le défi! Pourvu que Karine soit mieux pourvue que moi!)
Comment?
Tu fais une tête de renne qui deviendra soit une monture, comme le cheval-bâton du billet précédent, soit un trophée à accrocher au-dessus de ta cheminée, ou encore, avec onze mois d'avance, le centre d'une couronne de noêl.
Tu dois la réaliser en tissu ou au tricot ou au crochet.................
On me demande dans l'oreillette si on peut en fabriquer en papier mâché ou en Isorel perforé?.................
Oui! Tu dois juste faire une tête de renne.
Interdiction formel de foncer au Canada et d'abattre un animal pour lui prendre la tête.
Aucun animal n'aura à souffrir de ce défi!
Qu'y a-t-il à gagner?
A part être vu par des milliers de lecteurs, je vois pas bien.
Mais on va en discuter avec Karine et on t'en dira plus d'ici quelques jours.
Qui votera?
Strictement aucune idée.
Je vais aussi en discuter avec Karine.
Cependant, dis-toi tout de suite qu'elle et moi seront de toutes façons les meilleures!
(Quoi tricheuses?....)
Allez, au lieu de te, et de me, poser des questions oiseuses, mets-toi au boulot!
jeudi 11 février 2010
Ouverture du Haras....
C'est beau d'avoir du temps....
C'est génial d'avoir des mains, et de savoir s'en servir, quand on a du temps.
Hier, je me suis décidée à me lancer dans la couture.
ma grande soeur, pour Noël, avait fabriquer un "cheval-balai" pour une de ses petites-filles et j'avais trouvé l'idée intéressante.
Depuis j'ai appris que Petit-Lapin adorait les histoires de châteaux, de chevaliers et de dragons.
Aussi, après avoir consulté ce blog, qui fournit d'autres liens en fin de billet, je me suis lancée.
Une vieille couverture militaire; un reste de franges colorées; un peu de feutrine; du kapok (rapporté de Mayotte et conservé précieusement sous forme de coussins); du fil et un bâton (genre manche à balai); une perceuse et une machine à coudre....
Voila pour les matériaux et outils nécessaires.
Quatre heures plus tard, on obtient ça:
C'est génial d'avoir des mains, et de savoir s'en servir, quand on a du temps.
Hier, je me suis décidée à me lancer dans la couture.
ma grande soeur, pour Noël, avait fabriquer un "cheval-balai" pour une de ses petites-filles et j'avais trouvé l'idée intéressante.
Depuis j'ai appris que Petit-Lapin adorait les histoires de châteaux, de chevaliers et de dragons.
Aussi, après avoir consulté ce blog, qui fournit d'autres liens en fin de billet, je me suis lancée.
Une vieille couverture militaire; un reste de franges colorées; un peu de feutrine; du kapok (rapporté de Mayotte et conservé précieusement sous forme de coussins); du fil et un bâton (genre manche à balai); une perceuse et une machine à coudre....
Voila pour les matériaux et outils nécessaires.
Quatre heures plus tard, on obtient ça:
Maintenant je réfléchis à un autre modèle: renne type "tilda" ou dragon?.....
J'ai demandé son avis à ma grande fille, la maman de Petit-Poisson. J'attends sa réponse.
Mais toi, lecteur fidèle, tu en penses quoi? Renne? Dragon?
Allez, tu votes et je vois ça pendant les vacances (J-1!!!).
mardi 9 février 2010
Que veux-tu que je te dise?
L'hiver pousse une bonne partie de la blogosphère à .... hiberner si j'en crois ma blog roll.
En fait, à part Madame Patate qui blog à tout va (sans doute pour faire oublier une absence qui nous fut longue et douloureuse), le silence intersidéral s'installe un peu partout.
Je peux balancer! de mon côté, la vie est tellement... excitante?... Non. Foisonnante?.... Non. Occupée?.... Non. Plate et morne et sans rien à en dire?.... Ouiouiouioui!
Que veux-tu que je te raconte mon pauvre lecteur dont la fidélité est mise à rude épreuve depuis un moment?
Qu'il neige à nouveau?
Je pense que si je te raconte la neige chaque fois qu'elle tombe, je risque de faire quatre mois dessus. Lesquels seront suivis de quatre mois de fonte avec tous les désagréments que cela comporte. Après quoi nous auront enfin quatre mois de soleil... Il en faut tout de même!
Je pourrais aussi te raconter que vendredi dernier, pendant mon heure de cours au collège numéro 1, en première heure de la matinée (M1 ça s'appelle en langage collège), la neige s'est mise à tourbillonner devant les fenêtres de ma salle. je me suis un peu inquiétée.
Et j'ai eu raison!
Quand j'ai pris le chemin du retour, une mauvaise surprise m'est tombée dessus.
La route, dite prioritaire, celle qui, quoi qu'il arrive, est TOUJOURS dégagée, ne l'était pas!
Bloquée au milieu d'autres voitures et de camions à cause de l'enneigement très important au col et, histoire d'enfoncer le clou, d'un camion qui s'est amusé à se mettre en travers....
Résultat: un trajet qui se fait habituellement en trente à trente cinq minutes, m'a demandé ce jour-là deux heures quinze...................................................................
Aujourd'hui, on remet ça! Et je dois aller au collège des Crapauds, lequel n'est pas situé sur une route prioritaire!
Bon, alors non, je ne te parle pas de la neige.
Je pourrais te rappeler que je blog depuis un an... dans quelques jours....
Avant ici, il y eut là.
Un an! Dis, tu y crois!
Une année riche en événements: la naissance de PetitPoisson, notre petit fils Number Two; le déménagement à Nickelcity....
Je ne reviendrai que sur les jolis événements.
J'aurais aimé être un blog influent et te proposer un concours où des cadeaux plus merveilleux les uns que les autres auraient récompensé les plus fidèles, les plus rigolos, les plus lointains, les plus plus....
Je ne suis pas influente. Aucune boutique en ligne ne sponsorisera cet événement pourtant majeur dans ta vie culturelle, lecteur!
Que ça ne t'empêche pas de te fendre d'un message pour l'occasion!
hé ho! T'es pas là pour les cadeaux! .... Si?.....
Alors dis-toi que ces lignes, qui te sont personnellement dédiées, sont un vrai cadeau que je te fais, à toi, et à toi aussi, pis à toi, là....
Tu as l'impression que ce billet ne dit rien?...
Tu penses que ce billet n'a aucun sens?
Tu crois que ce billet ne sert qu'à augmenter le nombre de billets écrits depuis un an?
Tu as raison.
C'est vrai, tu as raison.
Exactement, c'est vrai, tu as raison.
Reconnais tout de même qu'écrire un billet aussi long quand on a rien à dire, c'est une vraie gageure!
Et rappelle-toi que d'autres blogs sont silencieux depuis plusieurs jours, parfois plusieurs semaines.
Maintenant tu peux me le dire: ça te fait rudement plaisir quand tu trouves enfin un nouveau billet!
En fait, à part Madame Patate qui blog à tout va (sans doute pour faire oublier une absence qui nous fut longue et douloureuse), le silence intersidéral s'installe un peu partout.
Je peux balancer! de mon côté, la vie est tellement... excitante?... Non. Foisonnante?.... Non. Occupée?.... Non. Plate et morne et sans rien à en dire?.... Ouiouiouioui!
Que veux-tu que je te raconte mon pauvre lecteur dont la fidélité est mise à rude épreuve depuis un moment?
Qu'il neige à nouveau?
Je pense que si je te raconte la neige chaque fois qu'elle tombe, je risque de faire quatre mois dessus. Lesquels seront suivis de quatre mois de fonte avec tous les désagréments que cela comporte. Après quoi nous auront enfin quatre mois de soleil... Il en faut tout de même!
Je pourrais aussi te raconter que vendredi dernier, pendant mon heure de cours au collège numéro 1, en première heure de la matinée (M1 ça s'appelle en langage collège), la neige s'est mise à tourbillonner devant les fenêtres de ma salle. je me suis un peu inquiétée.
Et j'ai eu raison!
Quand j'ai pris le chemin du retour, une mauvaise surprise m'est tombée dessus.
La route, dite prioritaire, celle qui, quoi qu'il arrive, est TOUJOURS dégagée, ne l'était pas!
Bloquée au milieu d'autres voitures et de camions à cause de l'enneigement très important au col et, histoire d'enfoncer le clou, d'un camion qui s'est amusé à se mettre en travers....
Résultat: un trajet qui se fait habituellement en trente à trente cinq minutes, m'a demandé ce jour-là deux heures quinze...................................................................
Aujourd'hui, on remet ça! Et je dois aller au collège des Crapauds, lequel n'est pas situé sur une route prioritaire!
Bon, alors non, je ne te parle pas de la neige.
Je pourrais te rappeler que je blog depuis un an... dans quelques jours....
Avant ici, il y eut là.
Un an! Dis, tu y crois!
Une année riche en événements: la naissance de PetitPoisson, notre petit fils Number Two; le déménagement à Nickelcity....
Je ne reviendrai que sur les jolis événements.
J'aurais aimé être un blog influent et te proposer un concours où des cadeaux plus merveilleux les uns que les autres auraient récompensé les plus fidèles, les plus rigolos, les plus lointains, les plus plus....
Je ne suis pas influente. Aucune boutique en ligne ne sponsorisera cet événement pourtant majeur dans ta vie culturelle, lecteur!
Que ça ne t'empêche pas de te fendre d'un message pour l'occasion!
hé ho! T'es pas là pour les cadeaux! .... Si?.....
Alors dis-toi que ces lignes, qui te sont personnellement dédiées, sont un vrai cadeau que je te fais, à toi, et à toi aussi, pis à toi, là....
Tu as l'impression que ce billet ne dit rien?...
Tu penses que ce billet n'a aucun sens?
Tu crois que ce billet ne sert qu'à augmenter le nombre de billets écrits depuis un an?
Tu as raison.
C'est vrai, tu as raison.
Exactement, c'est vrai, tu as raison.
Reconnais tout de même qu'écrire un billet aussi long quand on a rien à dire, c'est une vraie gageure!
Et rappelle-toi que d'autres blogs sont silencieux depuis plusieurs jours, parfois plusieurs semaines.
Maintenant tu peux me le dire: ça te fait rudement plaisir quand tu trouves enfin un nouveau billet!
jeudi 4 février 2010
Rire, pleurer ou crier... fort!
Certaines informations provoquent chez moi une multitude de réactions simultanées.
La dernière en date, je ne sais pas si je dois en pleurer, en rire ou me mettre en colère.
Comme moi, lecteur, tu as dû entendre cette nouvelle qui émane, semble-t-il, des "milieux bien informés" et proches de l'Intérieur.
On nous raconte qu'un quidam, étranger, marié à une française a demandé la nationalité française.
Jusque-là, rien de particulier ni d'étrange.
Mais le quidam en question, sans doute atteint d'un accès de folie, ou désireux d'être certain de ne pas obtenir ladite nationalité, aux questions qui lui sont posées aurait répondu:
qu'il n'acceptait pas l'égalité homme/femme;
qu'il réfutait le principe de laïcité;
qu'il obligeait sa femme à porter la burqa;
qu'il refusait de s'approprier la culture française.
Hé ho! Lecteur! Tu y crois toi à cette histoire?
Quant à moi, je ne vois qu'une explication à cette histoire. Elle est vile et dans l'air du temps: il faut mettre sous le nez du petit peuple, celui de "la France d'en bas" - tu sais, celle qui se laisse manipuler, qui ne comprend rien - lui mettre sous le nez ces vilains étrangers qui ne méritent pas d'être français, la preuve!
Bouh! Les pas beaux qui veulent le beurre, l'argent du beurre mais sans toucher la main de la crémière!
En tous cas, il tombe rudement bien le gars en question dis donc!
Et comme je suis une grande sceptique, ben l'histoire, j'y crois pas une seconde!
J'aurais pu en rire, dans d'autres circonstances, dans une autre époque peut-être.
Là, aujourd'hui, en ce moment, elle me flanque un peu la trouille mais surtout, elle me fout en boule!
Je n'aime pas qu'on me prenne pour une c***e!
La dernière en date, je ne sais pas si je dois en pleurer, en rire ou me mettre en colère.
Comme moi, lecteur, tu as dû entendre cette nouvelle qui émane, semble-t-il, des "milieux bien informés" et proches de l'Intérieur.
On nous raconte qu'un quidam, étranger, marié à une française a demandé la nationalité française.
Jusque-là, rien de particulier ni d'étrange.
Mais le quidam en question, sans doute atteint d'un accès de folie, ou désireux d'être certain de ne pas obtenir ladite nationalité, aux questions qui lui sont posées aurait répondu:
qu'il n'acceptait pas l'égalité homme/femme;
qu'il réfutait le principe de laïcité;
qu'il obligeait sa femme à porter la burqa;
qu'il refusait de s'approprier la culture française.
Hé ho! Lecteur! Tu y crois toi à cette histoire?
Quant à moi, je ne vois qu'une explication à cette histoire. Elle est vile et dans l'air du temps: il faut mettre sous le nez du petit peuple, celui de "la France d'en bas" - tu sais, celle qui se laisse manipuler, qui ne comprend rien - lui mettre sous le nez ces vilains étrangers qui ne méritent pas d'être français, la preuve!
Bouh! Les pas beaux qui veulent le beurre, l'argent du beurre mais sans toucher la main de la crémière!
En tous cas, il tombe rudement bien le gars en question dis donc!
Et comme je suis une grande sceptique, ben l'histoire, j'y crois pas une seconde!
J'aurais pu en rire, dans d'autres circonstances, dans une autre époque peut-être.
Là, aujourd'hui, en ce moment, elle me flanque un peu la trouille mais surtout, elle me fout en boule!
Je n'aime pas qu'on me prenne pour une c***e!
lundi 1 février 2010
Entre belles plantes....
Le déménagement des voisins provoquent toujours un certain nombre de désagréments.
Si tu vis en immeuble, tu sais que ce jour-là tu devras te frapper les huit étages en descente et en montée à pieds, parce que l'ascenseur est bloqué au quatrième pour le déménagement de madame Tartemolle.
Le hall d'entrée est trop encombré pour que tu envisages sereinement de remonter tes vingt cinq sacs de quinze kilos chacun. Le parking est chamboulé par la présence non seulement d'un camion énorme, mais aussi par la chevrette qui coupe la route et permet la descente des gros meubles par la fenêtre....
Si tu vis en maison particulière, c'est ta rue qui est bloquée par le camion, les cartons et tout le bazar entreposé sur le trottoir.
Bref! Le déménagement des voisins c'est souvent l'enfer.
Pas à Nickelcity.
Nos voisins les plus proches sont devenus propriétaires dans une petite commune proche de Nickelcity.
Toute la semaine, Monsieur a fait des allers-retours pour emporter ce qu'il pouvait dans sa voiture.
Ce week-end, il avait loué un camion. Un frigo, un lit ou un vaisselier, ça ne tient pas dans une voiture. Ou alors tu as, au choix, une très grosse voiture (qu'on appelle habituellement un camion), ou des tout petits meubles (qu'on appelle habituellement jouets).
Et parce qu'un camion c'est bien, mais que les meubles ne sautent pas dedans tout seul, il a demandé au Héros s'il pouvait lui donner un coup de main (de bras musclés oui!).
Pendant ce temps, j'étais dans tous mes bahuts (non, pas tous en même temps! le vendredi c'est temps plein et presque 150 kilomètres sur la journée!). J'ai un métier moi, lecteur!
A mon retour, bonne surprise: un lot de plantes d'intérieur données par la voisine parce que trop grandes pour la nouvelle maison.
Un beau ficus, un magnifique yucca qui a des feuilles tout le long de son tronc (et ça j'avais jamais vu!), et un énorme truc genre palmier (dracaena ou un nom comme ça) super grand et beau.
Mon salon en est tout transformé. Morice en est toute retournée.
Je résume: les voisins ont déménagé. Nous n'avons eu aucune perturbation. Nous y avons gagné de très belles plantes.
Elle est pas belle la vie à Nickelcity?
Si tu vis en immeuble, tu sais que ce jour-là tu devras te frapper les huit étages en descente et en montée à pieds, parce que l'ascenseur est bloqué au quatrième pour le déménagement de madame Tartemolle.
Le hall d'entrée est trop encombré pour que tu envisages sereinement de remonter tes vingt cinq sacs de quinze kilos chacun. Le parking est chamboulé par la présence non seulement d'un camion énorme, mais aussi par la chevrette qui coupe la route et permet la descente des gros meubles par la fenêtre....
Si tu vis en maison particulière, c'est ta rue qui est bloquée par le camion, les cartons et tout le bazar entreposé sur le trottoir.
Bref! Le déménagement des voisins c'est souvent l'enfer.
Pas à Nickelcity.
Nos voisins les plus proches sont devenus propriétaires dans une petite commune proche de Nickelcity.
Toute la semaine, Monsieur a fait des allers-retours pour emporter ce qu'il pouvait dans sa voiture.
Ce week-end, il avait loué un camion. Un frigo, un lit ou un vaisselier, ça ne tient pas dans une voiture. Ou alors tu as, au choix, une très grosse voiture (qu'on appelle habituellement un camion), ou des tout petits meubles (qu'on appelle habituellement jouets).
Et parce qu'un camion c'est bien, mais que les meubles ne sautent pas dedans tout seul, il a demandé au Héros s'il pouvait lui donner un coup de main (de bras musclés oui!).
Pendant ce temps, j'étais dans tous mes bahuts (non, pas tous en même temps! le vendredi c'est temps plein et presque 150 kilomètres sur la journée!). J'ai un métier moi, lecteur!
A mon retour, bonne surprise: un lot de plantes d'intérieur données par la voisine parce que trop grandes pour la nouvelle maison.
Un beau ficus, un magnifique yucca qui a des feuilles tout le long de son tronc (et ça j'avais jamais vu!), et un énorme truc genre palmier (dracaena ou un nom comme ça) super grand et beau.
Mon salon en est tout transformé. Morice en est toute retournée.
Je résume: les voisins ont déménagé. Nous n'avons eu aucune perturbation. Nous y avons gagné de très belles plantes.
Elle est pas belle la vie à Nickelcity?
Inscription à :
Articles (Atom)